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LA COMPAGNIE

Les Cils

La compagnie Les Cils est fondée en février 2018 par la chorégraphe Marie Simon, après sa sélection pour le programme de formation : l’Incubateur de chorégraphes de La Fabrique de la danse

Marie Simon oriente sa direction artistique autour de l’humain. Elle convie différentes disciplines artistiques : la danse, le dessin, la musique originale, les arts plastiques, la vidéo et la voix qu’elle considère comme des matières premières avec lesquelles interagir et rebondir.

C'est ce tissage entre les corps, l’espace, et les différents arts qui lui permet de souligner ce qui est à l'origine de son écriture chorégraphique : la relation.

 

En sollicitant les cinq sens des danseur·se·s et des spectateur·rice·s, elle questionne la relation intime entre les êtres et les matières. 

Son univers chorégraphique intègre le·a spectateur·rice avec douceur pour le·a placer au cœur de l'expérience.

Depuis 2020 la compagnie s’adresse au très jeune public afin de créer et d’arpenter des chemins vers l’écoute et les ressources intérieures des tout-petits et leur entourage. Elle souhaite intégrer toutes les personnes qui gravitent autour de l’enfant : les parents, la famille, les professionnel·le·s de la petite enfance, l’éducation et la culture afin d'agir au coeur de la société actuelle et de demain.

"L'oeil voit, perçoit, capte. Le cerveau amplifie, cible, omet... Le coeur charge. La mémoire identifie. Tandis que les cils dansent." 

Marie Simon

L'INTENTION

Marie Simon s'intéresse à la réciprocité entre les êtres humains et le monde qui les entoure.

En partant à la rencontre du très jeune public elle a découvert des similitudes entre son état de présence dansant et celui du jeune enfant. 

Tout comme le "petit d'Homme", elle vit pleinement le verbe "toucher", qui signifie à la fois : entrer en contact, émouvoir, s'émouvoir...

Avec et pour les spect'acteur·rice·s, véritables maestros de l'expérience de l'instant présent elle lie l'authenticité du mouvement et le désir d'être au monde.

 

Elle considère le·a danseur·se comme un canal. Vivant et vibrant, il·elle évolue entre les éléments physiques, spirituels et imaginaires qui constituent le « grand tout » dans lequel nous vivons.

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© Léa Téqui

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