La chorégraphe Marie Simon recherche un rapport au·à la spectateur·rice intimiste qui permet aussi bien à l’artiste qu’au·à la spectateur·rice de s’approcher et de nouer un lien, une connivence. Lors d’une exposition, un·e visiteur·se peut observer une œuvre d’art de près, de loin, de travers, à l’envers, avoir une posture singulière etc. C’est le rapport spectateur·rice que recherche Marie, à la différence qu’ici l'œuvre d’art est vivante et peut interagir avec le spectateur·rice.

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De par son intérêt pour le corps matière qu’elle explore à travers les différentes couches du corps humain et en premier lieu à travers la peau, surface enveloppante qui nous fait ressentir notre unicité et, matière qui nous relie à l’environnement, Marie s’entoure de plasticien·ne·s avec lesquel·le·s elle peut explorer les correspondances qui existent entre la danse et les arts plastiques.